Sarano, de la famille oubliée Tadaka

Bon je commence aujourd'hui, je finiras peut-être plus tard


Nom:Tadaka

Prénom: Sarano

Âge: 18 ans

Description Physique: (essayez de développer un minimum)Une cascade de cheveux bruns ébouriffés dont le propriétaire semble avoir perdu le total contrôle couronnant un visage fin marqué par des yeux bleu brillants comme deux perles et contrastants avec des sourcils noirs. L'arrête droite comme une ligne géométrique de son nez surplombe des lèvres charnues qui semblent ne plus savoir comment esquisser un sourire. Une barbe naissante parsème son menton.
Une lanière de cuire passée à son épaule droite et descendant vers son flanc gauche lui permet de maintenir dans son dos un long sabre dont la garde est frappée d'un sceau familial entouré d'arabesques.
Les couleurs dominantes de sa tenue donnent dans le noir et lui confèrent une allure inquiétante, renforcée par l'éclat troublant de ses yeux bleu qui prennent parfois l'allure de ceux d'un dément. Le long de son bras droit, dévalant de l'épaule jusqu'au creux de sa paume, des signes ostentatoires, propres à la famille Tadaka, sont tatoué d'un noir de jais qui contraste avec la peau pâle du jeune homme. Ces signes représentent des fourches noires emmêlées les unes aux autres, formant un étrange labyrinthe de chair et d'encre. Cependant, le tatouage n'est visible que si Sarano relève les manches de son vêtement.

Description Morale: Endurcie par une enfance solitaire et violente, son âme s'est ternie d'une sombre morosité et son visage à perdu la trace de gaieté enfantine qui pouvait encore, quelques années plus tôt, se lire sur son visage juvénile. Depuis près de dix ans, pas un sourire n'est venu rompre la grimace qu'affiche constamment son visage, reflet de l'amertume qui pourrit son esprit. Ses pensées sont focalisées sur un seul but : la puissance et l'expérience. Indifférent de ce qui l'entoure, rien d'autre ne l'obsède que ses objectifs. Rendu taciturne et renfrogné par son vécu, il préfère la vie en solitaire. Débrouillard, il à acquis les capacités nécessaires aux êtres comme lui : prudence, instinct développé et sens très aiguisés.


Comment avez vous connu le Forum? : par quelqu'un

Village souhaiter: (Mettre le village que vous souhaitez intégré) Exilé du village Kuni, village détruit depuis quinze ans et qui ne fut jamais reconstruit, il s'est réfugié à Kiri ( ou autre village si vous le souhaitez, par souci d'équilibrage ou autre ) ( Comprendre que par réfugié à Kiri, mon personnage est donc en réalité plus un Nuke Nin ou ninja indépendant )

Rang souhaiter: Junin ( y à -t-il vraiment cette notion de rang chez les Nuke Nin? )

Histoire: Il fut une famille qui disparu des mémoires, une famille qui ne laissa traces dans l'histoire, une famille dont jamais le monde n'osa prononcer le nom à nouveau. Une vague rumeur courait, personne ne sait ce qu'elle est aujourd'hui devenue. Une rumeur qui disait cette famille maudite et responsable de la destruction du village Kuni, dont personne n'osa jamais entreprendre la reconstruction. On dit que c'est cette famille qui attira le malheur sur le petit village, et que tous ses habitants trouvèrent la mort. Mais comme pour chaque évènement d'importance, il faut des survivants pour raconter, ou des fabulateurs pour imaginer. Deux discours qui rapportèrent l'événement de façon très différente, ses causes et ses effets variant d'une bouche à l'autre, mais il est un point sur lequel tout le monde s'accorde : un descendant de la famille maudite, le dernier d'entre tous, aurait survécu et vivrait désormais dans le seul but de reformer la famille qui fut grande et prestigieuse. Nul ne sait son nom, nul ne sait ou il se trouve, on ne sait ni son âge ni ses pouvoirs, on ne sait s'il existe même vraiment...

Nindô/Objectif Ninja: Reformer la famille Tadaka

Affinité du personnage ou affinité souhaitée: Raiton et Suiton

Paragraphe écrit: Un flanc de colline balayé par le vent qui fait frémir les quelques arbres qui poussent courageusement dans la pente, voilà le décor dans lequel était planté le petit homme d’une dizaine d’années qui, seul au milieu des hautes herbes, attendait sans le savoir le destin qui arrivait au galop.
Il se présenta sous la forme d’un grand cavalier noir, suivit de trois sbires, qui mirent pied-à-terre et l’encerclèrent rapidement. Le garçon leva ses grands yeux plein de larmes vers leurs visages masqués. A travers le voile noir qui leur masquait le visage, il pouvait percevoir leur souffle rauque.

- C’est lui ?

Le cavalier noir acquiesça lentement, sans quitter le petit du regard.

- Le dernier Tadaka, celui dont la mort achèvera de démentir la prophétie…

L’homme tira une épée du fourreau qui battait son flanc, et la lame argentée fit miroiter les derniers rayons du soleil qui n’allait plus tarder à se coucher. Les quatre soldats se rapprochèrent lentement du garçon, qui sentit un frisson parcourir son corps tout entier. Ses yeux toujours exorbités et fixés dans ceux du cavalier, il contemplait impuissant la lame tranchante qui était pointée sur lui.

- Si tu sais prier gamin, c’est le moment de le faire.

Le garçon s’exécuta et détourna son regard qu’il fixa sur le sol. Il remonta ses manches, laissant alors apparaître des symboles noirs tatoués sur son bras.

-Merde ! Le tatouage !

Tout en s’exclamant, le cavalier, qui semblait effrayé par la vision de ces symboles, pris de l’élan et abattit son arme sur le jeune homme, qui n’eut le temps que de relever la tête, pour voir la lame fondre sur lui.



Sarano ne comprenait pas réellement ce qui était en train de se passer, mais il sentait une grande quantité d’énergie parcourir tout son être. Le bras du cavalier s’était figé dans son geste, et ses yeux étaient fixés sur le tatouage du garçon dont les symboles avaient entamé une danse étrange et envoûtante.
Sans perdre une seconde, Sarano se dégagea de l’étau que formaient les quatre mercenaires et s’éloigna de quelques pas avant de se retourner pour prendre compte de la situation. Ils étaient tous restés figés dans la même position, immobiles pour une durée indéterminée, mais dont le garçon savait, malgré son jeune âge, qu’elle ne lui suffirait pas à fuir. Mais fuir n’était de toute façon pas ce qu’il voulait. Il avait vu. Il avait entendu. Il savait ce qui s’était passé cette après-midi, il avait vu tous ces hommes envahirent le village et tuer tout ses habitants, il avait vu les mères effrayées emmener leurs enfants à la sortie du village, il avait vu les pères résignés à gagner du temps au prix de leur propre vie. Il avait vu tout ça, et il était encore si jeune. Une rage sourde lui nouait la gorge, mais les larmes avaient arrêtées leur flot, incapables de couler plus longtemps.
Vengeance. Haine. Mort. Son âme était agité par des spasmes de violence, qui empêchait tout raisonnement, et le poussait à s’avancer vers les quatre assassins. Son trouble, encore, le poussa à saisir la poignée d’une épée et à la tirée du fourreau de son propriétaire. Puis, sans même en avoir conscience, il enfonça la lame acérée dans le ventre de l’ennemi le plus proche. Il sentit l’arme s’enfoncer dans la chair sans rencontrer aucune difficulté. Il poussa jusqu’à la garde, et le sang jaillit par torrents de l’ouverture béante qu’il avait pratiqué.
Tirant ensuite l’épée à lui, il recommença le même geste, mécaniquement, sur les trois autres hommes, qui s’effondrèrent tous sur le sol, recouverts de sang.
Lorsqu’il repris enfin ses esprits, Sarano fut incapable de ressentir la moindre émotion. En une journée, il avait perdu ses parents, son enfance et son innocence. Voué à ne plus rien ressentir, il venait de faire le premier pas dans ce qui allait désormais être le tumulte de la vie solitaire.




8 ans plus tard


Fatigué par sa vie de vagabond, Sarano s’était installé dans le petit village de Kiri, ou il aidait parfois à remplir les missions en échange qu’on le laissa tranquille. Sans qu’il ne s’en rende vraiment compte, il avait commencé à redécouvrir l’affection et le bien-être. Mais jamais sa mémoire n’effacerait l’événement dramatique qui avait marqué son enfance, et jamais il ne pourrait consacrer sa vie à autre chose qu’à son nindô. Il n’avait cependant aucune idée précise de la manière dont il allait mené sa quête, ni du temps qu’il lui faudrait, aussi il avait trouvé plus commode de s’installer à Kiri en attendant l’heure ou le destin viendrait à nouveau frapper à sa porte…

moi je te conseillerais plutot d'allonger ta presentation, histoire et descriptions trop courtes pour un jounin, mais bon le test RP peut changer tout ca ^^

Bienvenue, dommage qu'il ait si peu de couleur ..

Les gens j'ai préciser que j'avais pas encore fini

EDIT: me reste plus que le passage RP, je le ferais dès que j'ai le temps, et surtout dès que j'aurais l'inspiration :p

Voila, j'ai enfin réussi à achever ma présentation ^^

Donc pour toi ce sera Kiri si j'ai bien compris ? Ou Nuke-nin ? Les structures des déserteur étant faible (très) il n y a que Zabuza qui ait un tel grade, tu risques de te faire chier si tu ne prends pas Kiri.

Enfin c'est que mon avis (je signale juste^^)

Bienvenue et bon RP

Eh bien disons que je suis à Kiri mais que je n'en suis pas originaire et qu'il est possible que je quitte un jour le village^^ Mais pour sa on verra quand il y aura un peu plus de monde. En attendant, disons que oui je suis à Kiri^^

Si tu quittes le village tu deviendras un nuk nin, a laka on a lhabitute de les tuer pour avoir une récompense en échange, c a toi de voir haha ;p

Pfff vous me faites pas peur :p

Bon je peux commencer à faire mon dossier alors?

Validé!